samedi 20 août 2011

Maîtrisez vos émotions


Il nous arrive souvent de ressentir des émotions qui nous rendent heureux, contents, sécurisés, etc. Mais souvent aussi, les émotions négatives nous envahissent et contrôlent nos pensées et nos comportements. Elles peuvent être plus douleureuses qu'une douleur physique. Il y a des gens qui se laissent aller avec leurs émotions négatives et passent des heures à penser, pleurer, revenir sur l’histoire, s’isoler, crier, se blesser, sans savoir réellement se soulager. D’autres les fuient et s’empêchent d’y penser de peur de sentir la douleur, alors ils essaient de faire ‘autre chose’ et prétendre d'être heureux ou indifférents. C'est en opprimant les sentiments négatifs qu'ils se détachant de la réalité. Dans aucun cas ces attitudes peuvent résoudre le problème car il faut faire face à ce qui nous perturbe sans s’en fuir et sans se soumettre à ces mauvaises émotions. Voici 11 étapes qu’on peut pratiquer régulièrement à chaque fois qu'une mauvaise émotion incontrôlable nous envahit:

1. Acceptez la responsabilité de l’émotion. Dites « Je crée cette émotion maintenant » parce que la cause n’est pas extérieur mais à l’intérieur de vous.

2. Donnez un ‘nom’ à l’émotion pour la rendre plus claire et vous devenez ainsi plus conscient de ce que vous ressentez. Ne dites pas « je me sens mal, ou pas bien ». Identifiez l’émotion : déception, anxiété, honte, embarras, et le reste.

3. Oubliez l’histoire qui, selon vous, a engendré cette émotion et gardez en tête l’émotion que vous avez ‘nommée’.

4. Acceptez cette émotion sans la juger bonne ou mauvaise.

5. Laissez-vous ressentir cette émotion et ne la résistez surtout pas. Plus vous résistez à cette émotion, plus elle continue à vous envahir. Il vaut mieux donner accès à l'émotion et la ressentir que de la resister.

6. Demandez-vous une explication pour cette émotion, quelle est la raison. Ne retournez pas sur l’histoire. La cause de l’émotion est ‘VOUS’ et rien en dehors de vous. Demandez-vous, ''qu’est-ce que j’ai besoin d’apprendre de cette émotion ?" Quelles mauvaises pensées est-ce que j’ai et qui ont crée cette émotion ?

7. Identifiez ces pensées qui ont crée l’émotion et vous aurez la réponse.

8. Sachez que derrière chaque émotion douloureuse, il y a une pensée négative et inefficace. Identifiez cette pensée.

9. Remplacez cette pensée inefficace avec une autre pensée positive et dites « je veux rejeter cette mauvaise pensée et je veux la remplacer par cette pensée forte ».

10. A ce stade, vous allez sentir que la mauvaise émotion a disparu et s’est transformée pour la simple raison : votre conscience s’est développée et est devenue plus claire.

11. Pour dominer les émotions, il faut être fort, et pour se rendre fort, il faut nourrire votre âme. La nourriture de l’âme se trouve dans la spiritualité : la prière. Priez et pratiquez régulièrement ces étapes et vous allez sentir une énergie dans votre corps et votre âme pour surmonter ces émotions.

jeudi 23 juin 2011

Intelligence émotionnelle .. qu'est-ce que c'est ?

Etes-vous intelligent ... émotionnellement ?


Voici un sujet que j’aimerais partager avec vous parce qu’il nous concerne tous et contrôle d’une manière directe ou indirecte notre vie. Il s’agit de l’intelligence émotionnelle. Est-ce que vous la connaissez ? Je vous propose un test pour voir votre profil et déterminer votre niveau d’intelligence émotionnelle. Bonne chance.

-1-
A. J’ai remarqué que parfois quand je me trouve avec une personne très émotive, je suis étrangement calme et sans sentiments
B. Parfois, quand je suis au point d’interagir avec des personnes que ne connais pas bien, je ressens des sensations telle que des palpitations, des crampes d’estomac, la gorge nouée ou sèche ou un essoufflement, mais je ne sais pas pourquoi.
C. Je suis parfois submergé par des émotions qui me désorganisent et me rendent confus.
D. Parfois, j’ai conscience d’avoir un sentiment de colère, qui va d’une légère irritation à la rage.
E. Si une personne est émotive, je suis généralement capable d’identifier l’émotion qu’elle ressent : peur, joie, tristesse, espoir, colère.
F. J’aime les situations où les gens éprouvent des émotions positives, fortes, d’amour, d’espoir et de joie, comme à des mariages ou à l’église.

-2-
A. Après avoir passé un moment difficile avec quelqu’un, j’ai l’impression que certaines parties de mon corps sont engourdies.
B. Je prends des médicaments en vente libre pour lutter contre des maux de tête, maux d’estomac et des troubles digestifs, ou des douleurs corporelles que mon médecin n’arrive pas à expliquer.
C. Je sais que j’ai des émotions fortes, mais je suis fréquemment incapable d’en parler avec d’autres personnes.
D. J’ai conscience d’éprouver des sentiments de peur, depuis l’appréhension jusqu’à la terreur.
E. Je ressens parfois les sentiments des autres dans mon corps.
F. Les autres personnes m’apprécient parce que je sais apaiser les situations émotionnelles.

-3-
A. Je peux facilement tuer un petit animal, comme un serpent ou un poulet, sans rien ressentir de particulier.
B. Je suis souvent nerveux et irritable, et je ne peux pas m’en empêcher.
C. Je mens au sujet de mes sentiments parce que cela m’embarrasse d’en parler.
D. J’ai conscience d’éprouver de fortes sensations d’amour et de joie.
E. Je fais souvent des choses pour les autres car je les comprends et n’arrive à dire « non ».
F. Je sais bien aider les gens à faire le tri dans leurs émotions parce que je comprends généralement pourquoi ils les ressentent.

-4-
A. Je peux être en présence de personnes qui souffrent physiquement sans que cela me dérange.
B. J’ai les mains moites en présence de personnes que je ne connais pas.
C. Je sais que j’ai des sentiments forts mais je ne sais généralement pas de quel sentiments il s’agit.
D. Je sais assez bien ce que je ressens et pourquoi.
E. Parfois les sentiments des autres m’apparaissent clairement, et cela peut être un problème.
F. J’arrive généralement à gérer les personnes qui ont des sentiments forts et qui s’en déchargent sur moi.

-5-
A. Je suis presque toujours une personne rationnelle et je n’ai pas de problèmes avec mes émotions.
B. J’ai été amoureux et, sans savoir pourquoi, j’ai soudain perdu cette sensation.
C. Je suis parfois submergé par la mauvaise humeur.
D. Je sais généralement ce que je ressens lorsque je dois prendre une décision importante, que ce soit de la peur, de l’excitation, de la colère ou une autre combinaison d’émotions.
E. Lors d’une compétition, si je suis nettement supérieur, si je gagne, je me sens mal à la place de l’autre.
F. Quand je me trouve dans une pièce remplie de monde, je reconnais l’humeur du groupe – excitée, colérique, ennuyée ou effrayée.
-6-
A. Je pleure vraiment très rarement.
B. Parfois, quand je regarde une publicité à la télévision, les larmes me montent aux yeux et je ne comprends pas vraiment pourquoi.
C. Parfois, quand je me sens mal, je ne sais pas dire si j’ai peur ou si je suis en colère.
D. Je suis une personne qui ressent de temps en temps de la honte et de la culpabilité.
E. J’ai eu l’occasion de tirer sur un animal comme un oiseau, un lapin ou un chevreuil, mais je n’ai pas pu le faire parce que j’avais pitié de lui.
F. Je change souvent mes comportements auprès des autres parce que j’ai l’impression que cela va faciliter notre relation.

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Votre profil : Vous avez plus de (oui) pour :
Les questions A et B : votre conscience émotionnelle est faible (engourdissement)
Les questions C, D : votre conscience émotionnelle est moyenne. Vous êtes conscient de vos émotions mais vous ne savez pas quoi faire avec.
Les questions E, F : votre conscience émotionnelle est élevée

samedi 11 juin 2011

Prochainement … de l'archive … « Intelligence émotionnelle » : la connaissez-vous ?

samedi 16 avril 2011

Mieux comprendre une femme

Que faire avec une femme stressée !


Messieurs, êtes-vous capables de distinguer les symptômes d'une femme stressée sans que vous vous sentiez concernés ? Les femmes lorsqu'elles sont stressées tendent à mélanger leurs sentiments avec ceux d'autrui et perdent leur équilibre. Elles se sentent écartelée. Les hommes interprètent ces symptômes personellement et croient qu'ils sont incapables de les aider, une bonne raison pour qu'ils se retirent de la scène. Voici les trois symptômes d'une femme stressée ; essayez de les comprendre :

Premier symptôme : s'accabler
Le stress intensifie la sensibilité féminine. Confrontée à un afflux inhabituel d'émotions, la femme ne parvient plus à établir de distinction entre ses sentiments et ceux d'autrui et croit devoir répondre aux attentes de tous. Elle se sent alors débordée, incapable de trouver le repos tant que tout n'aura pas été fait. Plus elle oublie ses besoins au profit de ceux des autres, plus elle est surchargée. Elle donne et donne encore sans jamais prendre le temps de recevoir. Elle finit par se soumettre aveuglément aux désirs d'autrui, jusqu'à l'épuisement. Elle devient incapable de d'établir des priorités.

Lorsqu'une femme se plaint d'être débordée, elle cherche simplement à faire partager ce qu'elle ressent. Il suffit de l'écouter ! Son mari prend de la distance pour échapper à la culpabilité qu'elle lui renvoie. Il sent qu'il la déçoit mais ne sait pas comment l'exprimer sans perdre la face. Il ne lui dit pas qu'il désire son bonheur, qu'il déteste la voir malheureuse, etc., et n'imagine même pas qu'elle puisse souhaiter l'entendre. De son côté, la femme est persuadée qu'il ne l'aime pas car son comportement extérieur laisse croire qu'il est indifférent et que tout va bien. Le résultat : elle se sent encore plus seule.

Un homme doit savoir qu'une femme stressée a besoin qu'il lui prête une oreille attentive et non pas lui donne des solutions. 

Deuxième symptôme : dramatiser
Une femme accablée tend toujours à dramatiser. Après une journée stressante, une femme est capable de reporter toute son agressivité sur son mari, comme si c'était lui la cause de son tracas. S'il lui laisse évoquer le reste de ses préoccupations, elle parvient généralement à se détendre. Dans cet état, elle se laisse facilement aller à des propos injustes qu'elle se dépêche d'oublier. L'homme réagit de la même façon au stress: il s'irrite facilement mais, s'il n'est pas provoqué, sa mauvaise humeur passe aussi vite qu'elle est venue. Un homme doit pouvoir écouter sans se sentir visé ni interrompre sa partenaire pour corriger ses propos.

Sous l'effet du stress, une femme ne peut restaurer son équilibre qu'au moyen de la parole. Il suffit que son partenaire lui manifeste son soutien et sa compréhension pour qu'elle arrête de dramatiser.

Troisième symptôme : s'épuiser
A force daccumuler la tension, une femme peut très bien s'effondrer brutalement. Cette réaction est un appel au secours, mais un homme en conclut automatiquement qu'il a échoué et ne peut plus rien pour elle. Il ne voit pas que son épuisement découle d'un déséquilibre et qu'il n'y peut rien. Ces excès de fatigue sont l'équivalent féminin du repliement masculin. Plus la pression augmente chez une femme, moins elle pense à elle. Alors elle a besoin d'un sérieux coup de main.

Ne cherchez surtout pas à lui donner des conseils ou à la blâmer, mais contentez-vous de l'écouter et de la soutenir.

Pour restaurer son équilibre, une femme doit d'abord interroger ses sentiments. Si elle ne parvient pas à débrouiller ceux-ci, le déséquilibre s'accentue et se traduit par les symptômes évoqués plus haut.

Messieurs, pour guérir une femme de son stress, essayer de comprendre et de reconnaître ces symptômes. Une femme a besoin d'une oreille attentive et d'un sérieux soutien.
D'après John Gray

dimanche 20 février 2011

Mieux comprendre un homme

Comment s'y prendre avec un homme stressé


Mesdames, savez-vous distinguer les symptômes d'un homme stressé sans que vous vous sentiez concernées? Ce n'est pas facile. Un homme stressé montre trois symptômes principaux que les femmes interprètent souvent négativement et les prennent mal : l'éloignement, la mauvaise humeur et le repliement. Les femmes, ignorant ces symptômes, ont tendance à se sentir visées et à s'exagérer leur gravité. Certes, si les femmes parviennent à les interpréter et à les comprendre, elles se détendront et sauront mieux aider leur partenaire à retrouver son équilibre.

Premier symptôme : s'éloigner
Dans une situation de stress, le premier réflexe d'un homme est de prendre de la distance en mettant un frein à la communication. Bien entendu, la femme se sent visée par son attitude. Elle s'imagine qu'il ne l'aime plus. C'est normal car aux yeux d'une femme, l'éloignement traduit nécessairement l'indifférence ou la rancœur. Chez une femme, c'est le contraire qui se produit : plus elle est sous pression, plus elle est soucieuse du bien-être de ceux qu'elle aime. Si l'homme stressé n'est pas conscient de sa propre souffrance, il devient sourd à celle des autres et minimise les problèmes de son entourage. Il supprime ses émotions, il repousse toute tentative d'aide ou de dialogue et fait comme tout allait bien.

Une femme doit savoir qu'un homme distant est un homme qui lutte contre ses émotions.

Deuxième symptôme : la mauvaise humeur
Un homme préoccupé consacre toute son énergie à atteindre l'objectif qu'il s'est fixé. Si on l'interrompt pour un autre motif, il a le plus grand mal à changer de plan. Il est plus facile pour une femme de déplacer son attention d'un objet à un autre. Un homme, au contraire, ne peut se concentrer que sur une tâche à la fois. Si on l'interrompt, il proteste. Une femme va croire qu'il abuse de sa patience.

Sous l'effet du stress, un homme se désintéresse de tout et montre une mauvaise humeur.

Troisième symptôme : le repliement
Au comble de la tension, l'homme stressé se replie sur lui-même et offre alors l'apparence de la plus totale indifférence. C'est là un mystère de plus pour la femme : lorsqu'elle se referme, c'est qu'elle l'a décidé. Elle croit qu'il la fuit délibérément, pour quelque obscur motif de vengeance. En réalité, ce repliement est un mécanisme de défense qui se met en place quand l'homme sent affleurer des sentiments douloureux. Alors que sa femme voit un rejet pur et simple, un homme a juste besoin de s'isoler pour résoudre son problème.

Ne cherchez surtout pas à l'aider mais contentez-vous de respecter sa solitude.

Confrontée à la mauvaise humeur d'un homme, une femme a peur de demander. Pour s'assurer son aide, une femme doit apprendre à demander. Si elle ne demande pas, elle n'obtiendra rien. Une fois sa demande faite, elle doit garder le silence sans chercher à se justifier. Le silence est propice à la réflexion.

Mesdames, pour guérir un homme de son stress, rien de tel qu'un peu d'amour et de tolérance.
A suivre ..
D'après John Gray

dimanche 9 janvier 2011

Amitié dangereuse !

Quand l'amitié avec le sexe opposé devient dangereuse ..

 

Pourquoi cherche-t-on une amitié avec le sexe opposé ? Est-ce parce que l'amitié "classique" ne suffit pas pour combler nos besoins ? Est-ce parce que nous cherchons à vivre une expérience "différente" et plus riche que celle que nous avons déjà vécue avec le même sexe, mais tout en restant juste "ami(e)s" ? Ou bien parce que, contrairement à sa relation avec son partenaire, avec le sexe opposé on peut se confier et s'ouvrir plus facilement sans être jugé ?


Cette différence dans la relation encourage incontestablement les gens à établir des relations d'amitié avec le sexe opposé. L'on interagit avec ses collègues tous les jours, parfois de près et parfois d'une manière très personnelle. On ne peut pas s'empêcher d'être autour de ces gens. Dans de nombreux cas, ce sont des personnes que l'on voit plus souvent que son propre partenaire.


Ce sont des femmes et des hommes qu'on rencontre au travail ou dans l'entourage. Toutefois, comment sait-on que cette amitié est susceptible d'entraîner des ennuis ? En effet, ce n'est pas toujours facile, parce que les relations humaines ont tendance à évoluer progressivement : presque toutes les amitiés avec le sexe opposé commencent d'une manière innocente. Si l'on n'est pas sur ses gardes, elles peuvent devenir une menace sérieuse pour sa vie personnelle ou conjugale.


Une relation d'amitié commence à un niveau très élémentaire : se connaître les uns et les autres. Avant qu'elle s'en rende compte, la peresonne tente à s'ouvrir à l'ami(e) et à exprimer ses préoccupations, ses soucis et ses ennuis (en particulier ceux liés à sa vie privée). Être un homme, vous prêtez une oreille attentive à votre collègue femme. En guise de remerciement, elle vous donne l'attention et les soins qui dépassent parfois ceux que vous recevez de votre propre femme. Vous trouverez alors son comportement flatteur et donne un bon coup de pouce à votre ego. Quant à elle, elle se sent plus en sécurité avec vous parce que vous lui montrez un grand intérêt en écoutant ses soucis et en l'encourageant. 


Inconsciemment, l'amitié avec le sexe opposé devient la relation la plus importante dans votre vie ; encore plus importante que celle que vous menez avec votre propre partenaire. C'est à ce moment-là que cette "amitié" devient une véritable menace pour votre vie conjugale et personnelle.




Comment détermine-t-on si cette amitié détourne en relation dangereuse ? Voici quelques indices : 

 Vous êtes physiquement attiré par cette personne et vous pensez à elle quand vous n'êtes pas au travail.

Vous vous retrouvez à partager des informations personnelles que vous n'aurez pas partagées avec personne d'autre ni même avec votre partenaire.

Lorsque vous arrivez au travail, vous commencez la recherche de l'ami(e) et vous vous trouvez vraiment déçu s'il / elle n'est pas là.

Vous cherchez à créer des occasions pour être seul avec votre ami(e) au cours de la journée de travail ou en dehors du travail pour déjeuner ou prendre un café. Vous êtes prêt à vous attarder trop longtemps à votre bureau pour le / la voir.



A cause de ces évolutions, dont vous êtes complètement inconscient, cette relation peut prendre d'autres dimensions qui dépassent la simple amitié. L'ami(e) trouve plus d'accomplissement et de satisfaction dans sa relation avec vous. Même si rien d'anormal ne se reproduise entre vous, vous avez peut-être inconsciemment poussé votre ami(e) à ne pas confronter ses problèmes qu'il devrait traiter uniquement avec son propre partenaire. L'un finira par s'accrocher à l'autre.


Certes, il y en a qui s'acharnent sur leurs amitiés avec le sexe opposé dans lesquelles jamais rien ne s'est passé et rien ne se passera jamais entre eux. Des témoignages tels que : "on est juste amis"; "il ne représente rien pour moi"; "mes meilleurs amis sont tous du sexe opposé" confirment que l'amitié avec le sexe opposé est aussi normale et naturelle qu'une amitié avec le même sexe et ne risque pas de prendre une dimension romantique. Cependant, si on se pose les questions suivantes : Est-ce que vous pouvez être sûre que l'autre se sent de la même façon que vous ? Qu'il voit cette relation dans le même angle que le votre ? Que vos émotions n'évoluerons pas autrement dans l'avenir ? Pas toujours ! Vivre une amitié platonique entre homme et femme est une question cruciale ; un débat qui reste ouvert..